
Édition Fall'25 : une nouvelle façon de transformer la Finance. Payhawk réinvente la gestion des achats, des voyages, des notes de frais et des paiements
L’orchestration financière est une approche moderne qui gère les processus financiers en temps réel plutôt qu’a posteriori. Elle connecte les outils et systèmes existants : ERP, cartes, factures, à une couche de contrôle intelligente qui applique les politiques, automatise les workflows et garantit la cohérence des données.
Résultat : un meilleur contrôle, une conformité continue, des clôtures accélérées, une trésorerie plus claire et des opérations plus efficaces, sans remplacer l’infrastructure en place. Les CFOs y gagnent en effet de levier opérationnel, en visibilité temps réel et en processus auditables, alignés sur le rythme du business.
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Il est 21h47, la veille de la clôture.
Un CFO d’un groupe multi-entités jongle entre des notifications Slack à propos de reçus manquants, une chaîne d’emails sur un avoir fournisseur, et un tableur bricolé listant les charges à payer. Rien d’inhabituel : c’est simplement la réalité quand les validations sont dans un système, les cartes dans un autre, les factures dans un troisième, et que l’ERP reçoit tout… après coup.
Le problème n’est pas le manque d’outils. C’est l’absence d’un moyen de piloter en temps réel la façon dont l’argent circule. Si l’ERP est l’endroit où les faits financiers sont enregistrés, l’orchestration est l’endroit où le travail financier est dirigé. Imaginez une couche de contrôle intelligente qui couvre les dépenses, les fournisseurs et la clôture ; qui applique les règles dès la création d’une transaction ; qui coordonne les flux automatiquement ; et qui renvoie à l’ERP une traçabilité complète.
On n’ajoute pas « une app de plus ». On adopte un modèle d’exploitation qui connecte toutes les pièces pour que la finance avance au rythme du business.
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Nous avons interrogé 350 entreprises pour comprendre ce qu’elles associent à l’orchestration financière. Trois priorités se dégagent :
Mais aussi : automatisation des processus, intégration des systèmes, optimisation de la trésorerie, réduction des coûts.
À cela s’ajoutent des leviers comme la réduction des erreurs, la productivité des équipes, la capacité à scaler et la génération d’insights stratégiques.
En clair, l’orchestration n’est pas une fonctionnalité de plus : c’est un modèle d’exploitation où le contrôle, les données et l’exécution restent connectés… pendant que le travail se fait, pas après.
La gestion des dépenses reste la colonne vertébrale opérationnelle de nombreuses directions financières : cartes corporate, notes de frais, règles de dépenses, workflows de validation.
L’orchestration ne remplace pas cette base ; elle l’étend. En intégrant les fournisseurs, l’intake achats et les paiements dans un seul flux — tout en synchronisant en continu avec l’ERP — les CFOs transforment une bonne gestion des dépenses en contrôle temps réel.
Trois évolutions clés :
Parce que la complexité opérationnelle croît plus vite que les effectifs financiers. Structures multi-entités, nouveaux marchés, équipes distribuées : le modèle « une app par problème » a atteint sa limite. Les CFOs ont besoin d’un levier d’échelle.
La trésorerie est aussi redevenue centrale. La différence entre piloter le cash et le subir ? Une vision en temps réel des engagements, des validations et des règlements.
Autres moteurs :
Derrière le concept, l’orchestration repose sur quatre briques :
Pas de « rip & replace » : l’orchestration renforce la stack existante et alimente l’ERP avec des écritures validées et en temps réel.
En pratique, les bénéfices sont clairs :
Les outils spécialisés et customisations ERP ont permis d’avancer. Mais le patchwork d’apps crée une nouvelle complexité : multiples points de friction, politiques qui dérivent, processus difficiles à adapter.
L’orchestration ne s’y oppose pas : elle les coordonne. En garantissant que politiques, données et validations avancent ensemble.
N’est-ce pas déjà ce que fait l’ERP ?
Non. L’ERP est un système d’enregistrement. L’orchestration est un système de pilotage et de contrôle, qui s’assure que tout arrive propre et en temps réel dans l’ERP.
Et la sécurité ?
Centraliser les politiques et les workflows réduit les risques par rapport aux emails et tableurs. Moins d’exceptions non gérées, plus de traçabilité.
Est-ce un gros changement ?
Non. On commence petit : connecter ERP et banques, formaliser les politiques existantes, déployer sur une entité pilote. Puis on étend : AP, intake achats, voyages, etc.
Le rôle du CFO évolue : ne plus seulement rapporter ce qui s’est passé, mais orchestrer en continu la façon dont l’argent circule, avec clarté et conformité. La gestion des dépenses reste essentielle, mais l’avantage compétitif vient désormais de la façon dont toutes les pièces fonctionnent ensemble.
L’orchestration financière offre cette couche de contrôle : un seul plan pour unifier règles, validations et données à travers les dépenses, les fournisseurs et la clôture.
La veille de clôture ne doit plus ressembler à une course contre la montre. Quand les flux sont orchestrés, la finance arrête de courir et commence à piloter.
Georgi Ivanov est un ancien directeur financier devenu stratège en marketing et communication. Il dirige aujourd'hui la stratégie de marque et la vision IA chez Payhawk, alliant une expertise financière approfondie à un storytelling tourné vers l'avenir.