Payhawk x Grigor Dimitrov : le début d’une success story

La semaine dernière à Madrid, nous avons annoncé notre tout premier ambassadeur international : Grigor Dimitrov ! Ce premier sponsoring sportif est un véritable tournant pour nous. Mais vous vous demandez sûrement ce qu’un tennisman, numéro 10 au classement ATP peut bien avoir en commun avec une Fintech…

Pour construire une marque forte, vous devez être en mesure de fusionner les valeurs culturelles de votre entreprise avec l'identité de votre marque. Cette approche permet de créer un lien fort entre les salariés et les clients et favorise la fidélité des deux côtés. Il en a été de même lors de la présentation de notre nouvel ambassadeur. Avant d'approcher le manager de Grigor Dimitrov, nous avons commencé par identifier les parallèles entre Grigor et Payhawk et nous avons très vite perçu le potentiel d'un partenariat à long terme.

Payhawk, une vraie équipe d’athlètes

Nous avons toujours pensé que travailler chez Payhawk, c'est comme faire partie d'une équipe de sportifs professionnels. En effet, les sportifs sont évalués selon leurs performances individuelles et leur contribution à l'équipe. Qui peut mieux symboliser cela qu'un véritable athlète ?

Un esprit de compétition

Au sein de l’équipe Payhawk, nous sommes très compétitifs et attachons une grande importance à l'éthique au travail. Grigor Dimitrov en est le reflet en étant l'un des meilleurs athlètes sur le court, comptant d’incroyables performances au cours des 12 dernières années, ce qui exige une discipline, une éthique et une force mentale conséquentes. Chez Payhawk, nous encourageons cet esprit ainsi que les bienfaits mentaux et physiques du sport en offrant à tous nos employés, dans le monde entier, des cartes d'abonnement à des salles de sport. Cette approche permet de maintenir l'esprit de compétition tout en privilégiant la santé. De même, nous évaluons nos performances, sur la base de données, et attendons de nos collaborateurs qu’ils soient orientés résultats.

Encourager la diversité

Payhawk dispose de bureaux dans 8 pays différents, notre entreprise et notre culture sont donc extrêmement diversifiées. Dès nos débuts, nous avions des employés dans quatre pays avant même d'atteindre les 15 salariés au sein de la société. Il n'est pas facile de naviguer entre les nuances culturelles et de construire une entreprise loin des clichés, toutefois le sport est une valeur qui nous rassemble.

Une âme d’outsider

Venir d'un pays comme la Bulgarie conduit souvent à être perçu comme un outsider dans le domaine du sport ou de la technologie. Chez Payhawk, nous sommes partis du principe que le secteur des paiements est extrêmement fragmenté et qu'il est nécessaire de disposer d'une plateforme mondiale intégrée. Une plateforme qui permette aux équipes Finance de gérer les dépenses internationales de manière unifiée.
Cependant, la création d'une telle plateforme dans un pays sans tradition fintech comporte de nombreux défis. Nous sommes partis de zéro et avons été en concurrence avec des entreprises soutenues par des investisseurs prêts à dépenser des centaines de millions. Mais nous avons fait preuve de motivation, de détermination et de résilience pour surpasser de nombreux acteurs situés dans des territoires plus propices. Cela pourrait donner à réfléchir aux dizaines de VC qui nous ont rejetés au début de notre aventure.

Divertissement, respect, humilité

Nous construisons une entreprise avec une très forte densité de talents : cela permet à nos collaborateurs de s'exprimer et d'évoluer avec des professionnels partageant les mêmes idées. Certains n'ont jamais perçu Payhawk comme un travail, mais plutôt comme une mission et un moyen d'exprimer leur créativité et leur sens du business à l'international. Nous avons toujours respecté nos concurrents, nous construisons notre propre style tout en restant humbles et en travaillant dur pour atteindre nos objectifs. Tout comme Grigor. Nous sommes heureux et fiers d'unir nos forces avec cette sensation du tennis international !

Pour en savoir plus sur notre partenariat avec Grigor Dimitrov, c’est ici.